vraisemblablement la
Ligue de Défense Juive, interdite en Israël comme aux Etats-Unis, mais
tolérée en France.
Les nervis de cette milice ont attaqué les permanents du CICP et les
militants de l’AFPS, au début d’une conférence organisée le 20 juin 2006.
Ces groupes racistes n’en sont pas à leur première agression.
Au cours
des dernières années, des dizaines de personnes ont été victimes de
leurs violences racistes.
Leurs sites Internet (dont
www.liguededefensejuive.com), pleins d’incitations à la haine raciale,
restent en ligne.
Alors que le Ministre de l’Intérieur, M. Sarkozy a
récemment assuré que la Tribu K, un groupuscule ouvertement raciste,
serait interdit, il devient manifeste que les factions racistes
sionistes bénéficient d’une impunité qui peut être interprétée comme un
agrément tacite.
Deux poids, deux mesures, une habitude qui s’installe
dans la « République Française » ?
La GUPS réitère l’exigence faite suite à l’agression qui avait failli
coûter la vie à un militant palestinien de l’Association Générale des
Etudiants de Nanterre : l’Etat français doit dissoudre les groupuscules
de l’extrême droite sioniste, à commencer par la « Ligue de Défense
Juive ».